Le vendredi 17 mai 2024

Insurrection en Nouvelle-Calédonie

Une flambée de violence embrase la Nouvelle-Calédonie. La révision constitutionnelle du corps électoral est à l'origine de cette crise alors même que les Accords de Nouméa sont arrivés à leur terme avec les résultats de trois référendum attestant de la volonté du peuple calédonien de rester dans la France.

Après trente années de domiciliation en Nouvelle-Calédonie, une de nos adhérentes assume être venue s'installer en Métropole, où elle n'avait aucune attache, pour fuir un climat "anti-blanc" de plus en plus anxiogène.

La crainte, c'est de voir en Nouvelle-Calédonie, une nouvelle Algérie. Comment feront tous ces Calédoniens ( Wallisiens, Tahitiens, Indonésiens, et tant d'autres) si ils sont poussés à quitter le territoire ?

Les Kanaks leur disent de rentrer chez eux, mais chez eux c'est la Nouvelle-Calédonie.

La population blanche est traitée de colonisatrice et LFI attisant ce feu mortel, met nos compatriotes en danger.

Est-il nécessaire de préciser que la Nouvelle-Calédonie n'a jamais été une colonie mais une terre de bagnes où 21 000 prisonniers français ont été déportés entre 1864 et 1897. Prisonniers dont les surveillants étaient également kanaks.

L'insurrection actuelle et la connivence de LFI ne sont-elles pas qu'un prétexte pour faire simplement ressortir une haine envers la République Française ?

Cette situation nous concerne tous : la Démocratie doit-elle s'agenouiller devant la violence ?

Le chef de l'Etat et son gouvernement seront-ils à la hauteur ?

 


Votre Fédération des Deux-Sèvres